L’AFPC répond à la Commission des relations de travail

BargainingParliament-f

Le travail des agents et des opérateurs de scanographe étant différent, leurs enjeux de négociation le sont aussi.

Le nouvel employeur des services de protection parlementaire propose à la Commission des relations de travail et de l’emploi dans la fonction publique de fusionner les unités de négociation des agents et des opérateurs de scanographe. Ces deux groupes auraient donc la même convention collective.

Tant les agents et que les opérateurs de scanographe jouent un rôle dans la sécurité du public, des parlementaires et du personnel. Toutefois, leur travail diffère grandement, ainsi que leurs enjeux (horaires, uniforme, armes à feu) et environnements de travail. L’AFPC représente des milliers d’agents d’exécution de la loi au fédéral et connaît donc parfaitement les enjeux de négociation collective dans ce domaine. Le service de protection parlementaire devrait reconnaître que le travail des agents et opérateurs est différent.

L’AFPC est donc d’avis que chacun des deux groupes doit négocier sa propre convention collective, peu importe le syndicat qui le représente. Nous avons pris la même position face aux travailleurs des postes et aux réviseurs, deux groupes syndiqués par l’AFPC. Sur la Colline du Parlement, l’AFPC représente huit groupes distincts, qui ont chacun leur propre convention collective.

Régler cette question permettra à l’AFPC de retourner à la table de négociation plus rapidement et de répondre aux enjeux des opérateurs de scanographe.

Adressez-vous à un membre de votre équipe de négociation pour toute question ou pour consulter le cahier des revendications.